Un symptôme et non une maladie :
Le dos s’étend de la nuque aux fesses, mais le mal de dos est plus souvent assimilé aux lombalgies, douleurs au niveau des lombes, du « bas du dos » ou de la « région des reins. Elles résultent le plus souvent d’une souffrance de la colonne vertébrale lombaire. Tous les éléments de la colonne vertébrale peuvent être lésés :
vertèbres, disques, articulations, ligaments, muscles, etc. Ces douleurs peuvent également toucher des nerfs naissant dans la moelle épinière, on parle de névralgies ( par exemple sciatique). Mais les lombalgies ont parfois des origines surprenantes : viscérales ou vasculaires…
Rappeler l’importance de l’examen clinique :
Seul l’examen clinique permet de déterminer l’origine de la lombalgie : vertébrale, mécanique ou
inflammatoire ? En dépit des progrès technologiques, l’identification du coupable n’est pas toujours aisée. De plus, il n’y a pas de corrélation directe entre les lésions et les douleurs.
On peut observer des radios tout à fait normales alors que le patient souffre réellement. Seule la
confrontation radio – clinique permettra d’établir un diagnostic et traitement approprié. « l’un des objectifs de cette brochure est d’inciter les patients lombalgiques à moins polariser leur attention sur les résultats des
explorations radiologiques : on ne traite pas des images mais des patients ».
Ne pas attendre la pilule miracle !
Alors que chaque jour, on vante les mérites d’une nouvelle pilule, on ne doit pas pour autant négliger le traitement physique. Ainsi, le traitement physique des lombalgies ( la rééducation) ne se limite pas à quelques séances de kinésithérapie prescrites à la va- vite. La rééducation peut associer kinésithérapie, balnéothérapie, tractions, port de corset rigide…L’ostéopathie peut apporter une nouvelle option. Renseignez – vous cependant très précisément sur les compétences d’un kiné ou un ostéopatheà qui confier votre dos.
Lève toi et marche !
La plus grande révolution concernant le traitement physique est la place du « repos thérapeutique ». La mise au repos strict ou la réduction des activités physiques ne sont plus recommandées. Au
contraire, le repos prolongé aurait plus d’effets pervers ! Un repos sur le long terme peut entraîner une atrophie des muscles qui complique tout retour à la normale. On incite ainsi le patient lombalgique à reprendre rapidement une activité physique aussi normale que possible. Ainsi, certains centres spécialisés proposent des programmes de conditionnement à l’effort. Ces programmes obtiennent des résultats étonnants sur des patients victimes de lombalgies chroniques, responsables d’arrêt de travail de plusieurs mois voire même de plusieurs années !
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Le dos s’étend de la nuque aux fesses, mais le mal de dos est plus souvent assimilé aux lombalgies, douleurs au niveau des lombes, du « bas du dos » ou de la « région des reins. Elles résultent le plus souvent d’une souffrance de la colonne vertébrale lombaire. Tous les éléments de la colonne vertébrale peuvent être lésés :
vertèbres, disques, articulations, ligaments, muscles, etc. Ces douleurs peuvent également toucher des nerfs naissant dans la moelle épinière, on parle de névralgies ( par exemple sciatique). Mais les lombalgies ont parfois des origines surprenantes : viscérales ou vasculaires…
Rappeler l’importance de l’examen clinique :
Seul l’examen clinique permet de déterminer l’origine de la lombalgie : vertébrale, mécanique ou
inflammatoire ? En dépit des progrès technologiques, l’identification du coupable n’est pas toujours aisée. De plus, il n’y a pas de corrélation directe entre les lésions et les douleurs.
On peut observer des radios tout à fait normales alors que le patient souffre réellement. Seule la
confrontation radio – clinique permettra d’établir un diagnostic et traitement approprié. « l’un des objectifs de cette brochure est d’inciter les patients lombalgiques à moins polariser leur attention sur les résultats des
explorations radiologiques : on ne traite pas des images mais des patients ».
Ne pas attendre la pilule miracle !
Alors que chaque jour, on vante les mérites d’une nouvelle pilule, on ne doit pas pour autant négliger le traitement physique. Ainsi, le traitement physique des lombalgies ( la rééducation) ne se limite pas à quelques séances de kinésithérapie prescrites à la va- vite. La rééducation peut associer kinésithérapie, balnéothérapie, tractions, port de corset rigide…L’ostéopathie peut apporter une nouvelle option. Renseignez – vous cependant très précisément sur les compétences d’un kiné ou un ostéopatheà qui confier votre dos.
Lève toi et marche !
La plus grande révolution concernant le traitement physique est la place du « repos thérapeutique ». La mise au repos strict ou la réduction des activités physiques ne sont plus recommandées. Au
contraire, le repos prolongé aurait plus d’effets pervers ! Un repos sur le long terme peut entraîner une atrophie des muscles qui complique tout retour à la normale. On incite ainsi le patient lombalgique à reprendre rapidement une activité physique aussi normale que possible. Ainsi, certains centres spécialisés proposent des programmes de conditionnement à l’effort. Ces programmes obtiennent des résultats étonnants sur des patients victimes de lombalgies chroniques, responsables d’arrêt de travail de plusieurs mois voire même de plusieurs années !
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